L’éloignement au pied de la porte

Il est des fois où le pêcheur ressent le besoin de faire des milliers de kilomêtres en avion pour ressentir ce nécessaire éloignement de sa vie quotidienne et se sentir dépaysé. Il en est d’autres où manifestement quelques minutes de voiture suffisent pour se plonger dans un coin sauvage . Il est étonnant alors de trouver des berges ne portant pas les stigmates du passage répété des pêcheurs. Cette espèce de forêt primaire moussue, digne des contes de Perrault à la fois lugubre et mystérieuse, deviendra dans quelques jours lorsque le printemps décidera de s’installer pour un court laps d’espace temps, un paradis vert.

Pas grand chose de plus à rajouter une petite galerie photo pour compléter rapidement le tout. Il y avait des mouches sur les bords et sur l’eau :) à vous d’imaginer la suite…

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2 commentaires.

  1. Salut JY sur la deuxième photo j’ai l’impression d être sur la Rouvre vu la distance qui nous sépare c’est vraiment étrange; par chez nous cette sensation d’éloignement est flagrante tant la diversité des rivières est grande… en ce moment c’est plutôt des torrents de montagne tant il pleut en Normandie.

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