Dark Tiger a William G. Tapply novel
Dans un billet de Juillet j’annonçais avec regrets le décès de William G. Tapply. Cet auteur américain est désormais bien connu en France pour deux de ces romans qui mettent en scène un guide de pêche Stoney Calhoun dans un contexte d’intrigues et de meurtres.
J’attendais avec impatience la publication du dernier opus écrit par Sir Tapply. Celui est disponible actuellement en version anglaise seulement et a pour titre Dark Tiger.
Pour tout vous dire je l’ai trouvé mou, une rentrée dans le sujet longue, des constructions répétitives. Le rapport avec Kate différent enlève aussi du piment à ce troisième épisode.
Je ne sais pas si c’est de savoir que les aventures de Stoney ne seront plus qui m’a coupé le plaisir de lire ce roman mais je pense que cela n’y est pas étranger.
Toutefois l’histoire se tient et les clés de l’intrigue ne sont pas posées sous le tapis du perron.
Note : Depuis la lecture de ce livre dans sa version originale il a été traduit en français et vous pouvez le trouver disponible à l’achat sur amazon.fr à partir de 
21,56 €
Tout a fait d’accord.Ce livre est faible.Et l’adjectif est faible…
Pour commencer on ne trouve nul part une mouche ‘Dark Tiger » Comme pour les autres romans , Calhoun , est asexué , mais c’est doute la morale américaine qui veut ça.(Pour un roman noir, ça manque de transpiration…)
Puis l’histoire du botulisme, c’est effectivement un poison mortel, mais qui se propage par les boites de conserves pourries ou dans des bocaux datant de la guerre de 14, ce n’est pas un poison volatil, il faut l’ingurgiter.L’histoire des flacons ne tient pas une secondeMc Nutly et sa petite amie avaient sans doute faim et soif après s’être envoyée en l’air….On sert chaud le complot contre l’amérique, twin tower oblige.Quand aux brefs moments de pêche à la mouche , ils sont brefs et pauvres.
La seule bonne chose , c’est le dernier …..ouf .J’espère que le chien, genre Rintintin qui sauve son maître, ne vas pas se faire kinadpter…Et quand on lis la liste des remerciements , on se demande qui il faut remercier pour les conseils…
Bernard Bisson